Etude autour d’un autoportrait
Cette œuvre est le fruit d’un double mouvement, d’elle à moi, d’aller-retours permanents issus du travail de l’un sur l’autre.
Il semble même que la pierre me travaille plus que je ne tente de le faire…
C’est de ce double mouvement qu’est née l’idée de rendre compte, par une œuvre de pierre, de l’empreinte de l’être sur la matière, et inversement.
Considérer qu’il existe une mémoire des murs c’est considérer l’humanité des murs.
Cette œuvre est une invitation à aiguiser notre regard pour l’envisager.